“Ce jour-là, Bruxelles a pleuré (et moi aussi)” par Christian DE CONINCK aux éditions Bitbook.be (2019) - 4ème de couverture : Le 22 mars 2016, jour des attentats qui ont frappé Bruxelles, le Commissaire Christian DE CONINCK était de service. C'est lui qui était chargé d'informer la presse des événements. A la station de métro Maelbeek, il a été confronté à un spectacle comme on n'en voit que sur une scène de guerre. Les mois ont passé, et Christian DE CONINCK a dû se rendre à l'évidence : il n'était plus comme avant et ça n'allait vraiment plus. Finalement, le diagnostic a été posé : PTSD, syndrome de stress post-traumatique. Un verdict qu'il a eu du mal à accepter: lui, le flic solide, touché par cette maladie mystérieuse ? peu à peu, il s'est senti aspiré dans une spirale descendante, incapable de remonter à la surface. Ce livre est le compte rendu des attentats de Bruxelles tels qu'ils ont été vécus en première ligne par un policier. Décrivant les événements avec grand réalisme, il en montre les conséquences dans sa vie professionnelle et personnelle. Christian DE CONINCK est commissaire et porte-parole de la police de Bruxelles CAPITALE. Depuis 2007, il écrit aussi des romans policiers à succès.
“Molenbeek/Maelbeek” (22 mars 2016 Chronique d'une journée bruxelloise) par Sven GATZ aux Editions Mardaga (2019) - 4ème de couverture : Des attentas à la bombe sont perpétrés à l'aéroport et dans une station de métro détruisant directement ou indirectement des dizaines de vies humaines. Soudain, Bruxelles n'est plus qu'une plaie immense. Comment les bruxellois ont-ils vécu cette journée fatale ? Sven GATZ ravive les émotions du moment, diversement vécues, de sept personnages; Tout au long du parcours le menant de Molenbeek à Maelbeek, il dévoile, jusqu'à la nudité l'âme de Bruxelles.
“Français radicalisés” (Ce que révèle l'accompagnement de 1000 jeunes et de leurs familles) Enquête de Dounia BOUZAR aux Editions de l'Atelier/Editions Ouvrières 2018 - 4ème de couverture : Des jeunes Français adhèrent à des groupes terroristes cherchant à imposer par tous les moyens la loi divine au monde entier pour le “regénérer”. D'autres tuent de sang-froid des centaines de personnes à Charlie Hebdo, à l'Hypercasher, au Bataclan, à Magnaville, à Trèbes… pour ébranler la démocratie. D'autres enfin se félicitent de ces crimes. Comment et pourquoi des enfants de la République peuvent-ils commettre ou approuver ces actes ignobles ? Pour prévenir le plus possible les dangers d'attentats, tenter de sortir les jeunes du “djihadisme” et comprendre la raison et les étapes de leur engagement, l'anthropologue Dounia BOUZAR et son équipe ont accompagné durant trois ans 1000 djihadistes français et leurs familles. Les résultats de ce travail inédit à cette échelle sont saisissants. De nombreux jeunes “djihadistes” n'ont pas de parents musulmans. Leur allégeance à Daesh n'est pas uniquement idéologique mais relationnelle et émotionnelle. Dans cette enquête sont passés au crible le rôle de l'environnement social, des discriminations, des vulnérabilités psychologiques, les problématiques de genre, pour mieux comprendre comment faire face à cette déshumanisation et surtout comment aider les jeunes à s'en dégager. Loin des réponses sécuritaires, ce livre, prolongeant les travaux de nombreux experts étrangers, propose des repères pour sortir les “djihadistes” de leur enfermement mortifère et prévenir une radicalisation encore à l'oeuvre bien que plus calfeutrée. La logique meurtrière prônée par Daesh n'est pas fatale : 80% des jeunes accompagnés par Dounia BOUZAR et son équipe sont sortis de cette spirale…
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